بسم الله الرحمن الرحيم
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Le Reusme Du Pére Goriot
« Goriot mettait ses filles au rang des anges, et nécessairement
au-dessus de lui, le pauvre homme ! Il aimait
jusqu’au mal qu’elles lui faisaient2. »
jusqu’au mal qu’elles lui faisaient2. »
Le roman s'ouvre avec la description sordide et presque répugnante de la maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin
et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain)
ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui à l'époque où il était arrivé à la pension, riche, bien mis et en possession de beaucoup de mobilier. La plupart des pensionnaires se sont mis à l'appeler ainsi aussi, le tournant en ridicule et le considérant comme sénile et diminué. Logent également dans la pension d'autres personnes, entre autres Madame Couture et sa protégée, Mademoiselle de Taillefer, jeune fille pauvre mais belle, élégante et distinguée, dont la mère est morte mais que son père refuse de reconnaître (elle est aussi ignorée par son frère aîné). Ses tentatives pour accéder à sa famille sont ignorées par les deux hommes.
ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui à l'époque où il était arrivé à la pension, riche, bien mis et en possession de beaucoup de mobilier. La plupart des pensionnaires se sont mis à l'appeler ainsi aussi, le tournant en ridicule et le considérant comme sénile et diminué. Logent également dans la pension d'autres personnes, entre autres Madame Couture et sa protégée, Mademoiselle de Taillefer, jeune fille pauvre mais belle, élégante et distinguée, dont la mère est morte mais que son père refuse de reconnaître (elle est aussi ignorée par son frère aîné). Ses tentatives pour accéder à sa famille sont ignorées par les deux hommes.
Rastignac, qui est issu d'une famille provinciale modeste, est ébloui
par la vie parisienne. Il délaisse rapidement ses études et tente de
percer dans la haute société. Il est aidé en cela par sa cousine, la vicomtesse de Beauséant,
qui l'invite à un bal où il rencontre Anastasie de Restaud. Il tente sa
chance avec elle, mais est rapidement mis à l'écart quand il découvre
le fossé culturel et surtout financier qui le sépare de la dame, de son
mari et de son amant. Décontenancé, exclu des amitiés de ces trois
derniers, misérable et vexé, il retourne voir sa cousine, qui l’initie
aux mystères du grand monde. Elle lui révèle également le secret
d'Anastasie : elle est la fille du père Goriot. Celui-ci s’est quasiment
ruiné pour contenter, doter et bien marier ses deux filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen,
qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès
de leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la façon dont s’est
enrichi leur père. Elles ne rechignent toutefois pas à accepter ses
aides lorsque les y forcent leurs problèmes financiers.
Vautrin, en attendant, révèle cyniquement à Rastignac les rouages de
la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa
fortune et il le pousse à épouser Mademoiselle de Taillefer, dont il
s’arrange pour faire tuer le frère en duel afin de lui rendre la
disposition d’un riche héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans
cette affaire criminelle. Il s’engage dans une relation amoureuse avec
Delphine, une des filles de Goriot. Une enquête révèle que Vautrin est
un ancien forçat, Jacques Collin, portant la marque au fer rouge des
bagnards sur la peau et que découvrent les agents venus l’arrêter.
Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac
pour vivre auprès de sa fille Delphine, meurt en apprenant brutalement
la situation familiale et financière désastreuse de ses filles, qui lui
réclament son aide sans ménagement. Peu de temps avant, on lui avait
diagnostiqué une grave crise d'apoplexie. Bianchon, un des pensionnaires
et ami de Rastignac, a lui-même diagnostiqué le Père Goriot.
Rastignac assiste à l’enterrement du vieillard, que ses filles
n’accompagnent même pas au cimetière. Bien qu’il soit assez ému par la
détresse du vieillard, Rastignac se laisse emporter par sa passion du
pouvoir et de l’argent et, subjugué par la vue des quartiers riches de
Paris, il se lance à la conquête de la capitale : « À nous deux,
maintenant ! »